Le lazy loading, pour « chargement paresseux », consiste à retarder le chargement de certaines ressources pour améliorer la vitesse d'un site web. En optimisant ainsi les performances du site, le développeur influe sur l'expérience utilisateur, et sur le SEO. Au-delà de ces bénéfices relativement pragmatiques, le lazy loading rationnalise les usages et les consommations.
Définition du lazy loading
Le lazy loading est la technique de chargement différé utilisée en développement web pour accélérer l'affichage d'une page. La technique consiste à ne charger les ressources qu'au moment où elles sont nécessaires. Les ressources lourdes, telles que les vidéos et les Iframes, sont principalement concernées.
Exemples de lazy loading sur une page produit d'un site de e-commerce :
- Le navigateur ne charge le module JavaScript de visualisation 3D que quand/si l'utilisateur utilise la fonctionnalité de 3D.
- Les images du produit ne sont chargées que lorsque l'utilisateur fait défiler la page jusqu'à ces images.
- Tous les éléments statiques visibles à l'ouverture de la page, en revanche, sont chargés sans délai.
Pourquoi utiliser le lazy loading ?
Globalement, le lazy loading est utilisé pour accélérer l'affichage d'une page web. Plusieurs bénéfices, très liés les uns aux autres, en découlent.
Meilleure expérience utilisateur (UX)
Les utilisateurs s'habituent à ce que le web aille de plus en plus vite. Lorsqu'une page charge lentement, imposant de patienter, cela provoque de l'agacement. Grâce au lazy loading, le développeur réduit le temps de chargement sans sacrifier la qualité de l'affichage : les éléments immédiatement nécessaires apparaissent, les autres sont mis en attente. L'UX est bonne, les utilisateurs sont dans de bonnes dispositions pour visiter le site web.
En 2025, Google indique que le temps de chargement doit être inférieur à 2,5 secondes pour offrir une UX satisfaisante.
Réduction du taux de rebond
Certains utilisateurs ne patientent pas : s'ils estiment le temps de chargement trop long, ils quittent la page web avant même qu'elle s'affiche complètement. Les données Google révélaient à cet égard, déjà en 2017, qu'une visite sur deux était abandonnée au-delà de 3 secondes de chargement sur un site mobile.
Réduire le temps de chargement grâce au lazy loading contribue donc à réduire le taux de rebond. Ainsi, l'entreprise qui retient plus efficacement ses visiteurs augmente sa visibilité et gagne des opportunités commerciales.
Référencement naturel (SEO)
Parce qu'elle influe sur l'expérience utilisateur, la vitesse de chargement d'une page web fait partie des critères de performance dont Google tient compte en référencement naturel – les fameux Core Web Vitals. Google parle de LCP, pour Largest Contentful Paint. Un bon LCP (inférieur à 2,5 secondes) contribue à améliorer la visibilité des pages web dans les résultats de recherche Google.
Le conseil de HubSpot : identifiez les éléments critiques du LCP

Les éléments pris en compte pour le calcul du LCP sont le texte, les images et vidéos et les éléments interactifs dont l'utilisateur a immédiatement besoin pour profiter pleinement de l'expérience promise par la page web. Sur ces éléments critiques, ne faites surtout pas de lazy loading, au risque d'augmenter votre LCP et de nuire à votre SEO.
Rationalisation des usages du web
Le lazy loading évite de consommer inutilement. Cela s'impose comme une évidence.
Côté utilisateurs, pour des usages mobiles : au lieu de charger systématiquement toutes les ressources lourdes à l'ouverture d'une page (modules JS, images, vidéos…), le navigateur charge seulement ce qui est visible ou activé par l'utilisateur. Cela consomme moins de données mobiles, les utilisateurs économisent le cas échéant sur leur forfait data. Accessoirement, cela préserve le niveau de batterie. C'est une technique utile, par ailleurs, pour ne pas surcharger la mémoire du navigateur.
Un exemple concret pour bien comprendre : une page contient au total 5 Mo d'images, dont seulement 1 Mo est chargé à l'ouverture de la page ; si l'utilisateur ne fait pas défiler la page, il économise 4 Mo de données.
Côté entreprises : le lazy loading, en limitant le chargement de données, évite le gaspillage de bande passante. Sachant que certains hébergeurs facturent la bande passante au-delà d'un seuil, le lazy loading est une technique économique.
Quelle est la différence entre lazy loading et eager loading ?
Des techniques opposées
L'eager loading, également appelé instant loading, est l'opposé du lazy loading. Alors que le lazy loading diffère le chargement des ressources, l'eager loading charge immédiatement les ressources. C'est le comportement par défaut.
Appliquée à toute une page web, la technique d'eager loading emporte les conséquences suivantes en UX :
- Temps de chargement plus long si les éléments contenus dans la page sont lourds.
- Pas de décalage d'affichage entre les différents éléments : tout est visible en même temps.
Des techniques complémentaires
En pratique, les sites web n'appliquent pas l'une ou l'autre technique à l'intégralité de leur contenu. Chaque ressource d'une page en effet peut faire appel à la technique de chargement la mieux adaptée. Illustration :
- À l'ouverture, le navigateur charge immédiatement (eager loading) le logo, pour confirmer à l'utilisateur qu'il est au bon endroit, le titre, pour informer sur le contenu, et les boutons stratégiques pour l'entreprise, tels que les boutons d'ajout au panier en e-commerce. Le développeur allège au maximum ces éléments critiques pour ne pas ralentir la page à l'ouverture.
- Le carrousel d'images du produit affiché en bas de page, le chatbot ou encore la vidéo de démonstration peuvent être chargés en différé (lazy loading), quand l'utilisateur fait défiler la page et s'il active la fonctionnalité.
Quand utiliser le lazy loading ?
Le lazy loading est idéal lorsqu'un site web contient de nombreuses ressources lourdes telles que des images, des vidéos, des GIF ou encore des éléments intégrés par des tiers (Iframes). C'est le cas pour la plupart des sites de e-commerce. Étant donné que le chargement de toutes ces ressources en une seule fois prend beaucoup de temps et ralentit l'ouverture de la page, le lazy loading est opportun pour rendre la navigation plus agréable.
Optimiser la vitesse de chargement des pages améliore l'expérience utilisateur et le référencement naturel. Google en effet tient compte de la vitesse de chargement pour établir le classement dans les pages de résultats de recherche. Il est donc opportun d'utiliser le lazy loading quand le SEO est médiocre.
Plus précisément, le lazy loading doit être utilisé pour :
- Les contenus de la page qui se situent en-dessous de la ligne de flottaison, invisibles à l'ouverture de la page.
- Les éléments interactifs, tels que les vidéos, les modules de commentaires et les formulaires, qui ne seront peut-être pas activés par l'utilisateur.
- Les carrousels d'images, si les images sont lourdes et nombreuses.
Comment déployer le lazy loading ?
Plusieurs façons permettent de mettre en œuvre le lazy loading :
- Utiliser un plugin tel que a3 Lazy Load sur WordPress
- Faire du lazy loading natif avec l'attribut loading=lazy
Déployer le lazy loading avec un plugin
Il existe de nombreux plugins dédiés au lazy loading. Voici deux exemples pour le CMS WordPress :
- a3 Lazy Load : il s'agit d'un plugin simple à utiliser, et puissant, qui peut charger « paresseusement » les images, les vidéos et les Iframes sur un site. Il comporte de multiples fonctionnalités et est compatible avec d'autres plugins populaires comme WP Super Cache, WooCommerce, Imagify ou Advanced Custom Fields.
- Smush : ce plugin polyvalent comprend un large éventail de fonctionnalités pour optimiser les images, en vue d'accélérer un site WordPress. Le chargement différé par lazy loading fait partie des fonctionnalités. Ce plugin très populaire a plus d'1 million d'installations actives à son compte, et une note utilisateurs de 4,8 sur 5 en 2025.
Déployer le lazy loading natif
L'attribut loading=lazy permet de charger paresseusement les images et les Iframes. Cet attribut est pris en charge par la plupart des navigateurs populaires.
Pour appliquer le lazy loading sur une vidéo, il peut être judicieux d'intégrer la vidéo via un Iframe, et d'utiliser l'attribut loading=lazy à l'Iframe. Une autre technique consiste à conditionner le visionnage au clic sur un bouton.
Quels sont les inconvénients du lazy loading ?
Décalage visuel
Le lazy loading diffère le chargement de certaines ressources non critiques. Cela peut provoquer un décalage visuel à l'affichage de la page, légèrement déroutant bien que peu perceptible. C'est le cas par exemple lorsqu'un utilisateur fait défiler une page très rapidement alors que les images en bas de page sont en lazy loading : elles s'affichent avec un temps de retard.
Pour ne pas troubler l'UX, il est judicieux à cet égard de prévoir un élément visuel de type petite icône à afficher le temps de charger l'élément en lazy loading. En pratique néanmoins, le décalage est si faible qu'il ne gêne pas l'UX. Des tests effectués dans Chrome, en effet, relèvent qu'en 4G, 97,5 % des images différées sont entièrement chargées dans les 10 ms qui suivent le moment où elles doivent être visibles.
Impact sur le LCP
Si le lazy loading est appliqué à des ressources critiques, l'impact sur le LCP est néfaste et les performances du site web évaluées via les Core Web Vitals de Google se dégradent.
Pour s'assurer de faire bon usage du lazy loading, il est important de suivre son LCP. Des outils tels que Google PageSpeed Insights permettent de calculer et de suivre le LCP gratuitement.
Problème d'indexation
Le chargement différé risque d'empêcher Google d'indexer les contenus : si l'utilisateur ne fait pas défiler la page, ou ne clique pas pour utiliser une ressource interactive, Google n'accède peut-être pas au contenu.
Utiliser le lazy loading natif réduit ce risque. Quoi qu'il en soit, il faut vérifier que les contenus essentiels au référencement sont correctement indexés par Google, en utilisant un outil tel que la Google Search Console.
Comment vérifier le fonctionnement d'un lazy loading ?
Tester sur le terrain
La méthode la plus simple consiste à observer comment les images s'affichent lorsque l'utilisateur fait défiler une page. Si elles apparaissent progressivement, cela signifie que le chargement différé fonctionne.
Inspecter le code HTML
Autre manière plus technique de tester l'efficacité du lazy loading : vérifier le code.
- Cliquer avec le bouton droit de la souris sur l'élément à tester.
- Cliquer sur « Inspecter ».
- Vérifier la présence de l'attribut loading=lazy.
Pour aller plus loin dans votre stratégie web, évaluez votre site internet avec l'outil Website Grader, ou découvrez le logiciel CMS de Hubspot.
Le lazy loading : comment cela fonctionne et l'utiliser ?
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Publié :
Le lazy loading, pour « chargement paresseux », consiste à retarder le chargement de certaines ressources pour améliorer la vitesse d'un site web. En optimisant ainsi les performances du site, le développeur influe sur l'expérience utilisateur, et sur le SEO. Au-delà de ces bénéfices relativement pragmatiques, le lazy loading rationnalise les usages et les consommations.
Définition du lazy loading
Le lazy loading est la technique de chargement différé utilisée en développement web pour accélérer l'affichage d'une page. La technique consiste à ne charger les ressources qu'au moment où elles sont nécessaires. Les ressources lourdes, telles que les vidéos et les Iframes, sont principalement concernées.
Exemples de lazy loading sur une page produit d'un site de e-commerce :
Pourquoi utiliser le lazy loading ?
Globalement, le lazy loading est utilisé pour accélérer l'affichage d'une page web. Plusieurs bénéfices, très liés les uns aux autres, en découlent.
Meilleure expérience utilisateur (UX)
Les utilisateurs s'habituent à ce que le web aille de plus en plus vite. Lorsqu'une page charge lentement, imposant de patienter, cela provoque de l'agacement. Grâce au lazy loading, le développeur réduit le temps de chargement sans sacrifier la qualité de l'affichage : les éléments immédiatement nécessaires apparaissent, les autres sont mis en attente. L'UX est bonne, les utilisateurs sont dans de bonnes dispositions pour visiter le site web.
En 2025, Google indique que le temps de chargement doit être inférieur à 2,5 secondes pour offrir une UX satisfaisante.
Réduction du taux de rebond
Certains utilisateurs ne patientent pas : s'ils estiment le temps de chargement trop long, ils quittent la page web avant même qu'elle s'affiche complètement. Les données Google révélaient à cet égard, déjà en 2017, qu'une visite sur deux était abandonnée au-delà de 3 secondes de chargement sur un site mobile.
Réduire le temps de chargement grâce au lazy loading contribue donc à réduire le taux de rebond. Ainsi, l'entreprise qui retient plus efficacement ses visiteurs augmente sa visibilité et gagne des opportunités commerciales.
Référencement naturel (SEO)
Parce qu'elle influe sur l'expérience utilisateur, la vitesse de chargement d'une page web fait partie des critères de performance dont Google tient compte en référencement naturel – les fameux Core Web Vitals. Google parle de LCP, pour Largest Contentful Paint. Un bon LCP (inférieur à 2,5 secondes) contribue à améliorer la visibilité des pages web dans les résultats de recherche Google.
Le conseil de HubSpot : identifiez les éléments critiques du LCP
Les éléments pris en compte pour le calcul du LCP sont le texte, les images et vidéos et les éléments interactifs dont l'utilisateur a immédiatement besoin pour profiter pleinement de l'expérience promise par la page web. Sur ces éléments critiques, ne faites surtout pas de lazy loading, au risque d'augmenter votre LCP et de nuire à votre SEO.
Rationalisation des usages du web
Le lazy loading évite de consommer inutilement. Cela s'impose comme une évidence.
Côté utilisateurs, pour des usages mobiles : au lieu de charger systématiquement toutes les ressources lourdes à l'ouverture d'une page (modules JS, images, vidéos…), le navigateur charge seulement ce qui est visible ou activé par l'utilisateur. Cela consomme moins de données mobiles, les utilisateurs économisent le cas échéant sur leur forfait data. Accessoirement, cela préserve le niveau de batterie. C'est une technique utile, par ailleurs, pour ne pas surcharger la mémoire du navigateur.
Un exemple concret pour bien comprendre : une page contient au total 5 Mo d'images, dont seulement 1 Mo est chargé à l'ouverture de la page ; si l'utilisateur ne fait pas défiler la page, il économise 4 Mo de données.
Côté entreprises : le lazy loading, en limitant le chargement de données, évite le gaspillage de bande passante. Sachant que certains hébergeurs facturent la bande passante au-delà d'un seuil, le lazy loading est une technique économique.
Quelle est la différence entre lazy loading et eager loading ?
Des techniques opposées
L'eager loading, également appelé instant loading, est l'opposé du lazy loading. Alors que le lazy loading diffère le chargement des ressources, l'eager loading charge immédiatement les ressources. C'est le comportement par défaut.
Appliquée à toute une page web, la technique d'eager loading emporte les conséquences suivantes en UX :
Des techniques complémentaires
En pratique, les sites web n'appliquent pas l'une ou l'autre technique à l'intégralité de leur contenu. Chaque ressource d'une page en effet peut faire appel à la technique de chargement la mieux adaptée. Illustration :
Quand utiliser le lazy loading ?
Le lazy loading est idéal lorsqu'un site web contient de nombreuses ressources lourdes telles que des images, des vidéos, des GIF ou encore des éléments intégrés par des tiers (Iframes). C'est le cas pour la plupart des sites de e-commerce. Étant donné que le chargement de toutes ces ressources en une seule fois prend beaucoup de temps et ralentit l'ouverture de la page, le lazy loading est opportun pour rendre la navigation plus agréable.
Optimiser la vitesse de chargement des pages améliore l'expérience utilisateur et le référencement naturel. Google en effet tient compte de la vitesse de chargement pour établir le classement dans les pages de résultats de recherche. Il est donc opportun d'utiliser le lazy loading quand le SEO est médiocre.
Plus précisément, le lazy loading doit être utilisé pour :
Comment déployer le lazy loading ?
Plusieurs façons permettent de mettre en œuvre le lazy loading :
Déployer le lazy loading avec un plugin
Il existe de nombreux plugins dédiés au lazy loading. Voici deux exemples pour le CMS WordPress :
Déployer le lazy loading natif
L'attribut loading=lazy permet de charger paresseusement les images et les Iframes. Cet attribut est pris en charge par la plupart des navigateurs populaires.
Pour appliquer le lazy loading sur une vidéo, il peut être judicieux d'intégrer la vidéo via un Iframe, et d'utiliser l'attribut loading=lazy à l'Iframe. Une autre technique consiste à conditionner le visionnage au clic sur un bouton.
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Quels sont les inconvénients du lazy loading ?
Décalage visuel
Le lazy loading diffère le chargement de certaines ressources non critiques. Cela peut provoquer un décalage visuel à l'affichage de la page, légèrement déroutant bien que peu perceptible. C'est le cas par exemple lorsqu'un utilisateur fait défiler une page très rapidement alors que les images en bas de page sont en lazy loading : elles s'affichent avec un temps de retard.
Pour ne pas troubler l'UX, il est judicieux à cet égard de prévoir un élément visuel de type petite icône à afficher le temps de charger l'élément en lazy loading. En pratique néanmoins, le décalage est si faible qu'il ne gêne pas l'UX. Des tests effectués dans Chrome, en effet, relèvent qu'en 4G, 97,5 % des images différées sont entièrement chargées dans les 10 ms qui suivent le moment où elles doivent être visibles.
Impact sur le LCP
Si le lazy loading est appliqué à des ressources critiques, l'impact sur le LCP est néfaste et les performances du site web évaluées via les Core Web Vitals de Google se dégradent.
Pour s'assurer de faire bon usage du lazy loading, il est important de suivre son LCP. Des outils tels que Google PageSpeed Insights permettent de calculer et de suivre le LCP gratuitement.
Problème d'indexation
Le chargement différé risque d'empêcher Google d'indexer les contenus : si l'utilisateur ne fait pas défiler la page, ou ne clique pas pour utiliser une ressource interactive, Google n'accède peut-être pas au contenu.
Utiliser le lazy loading natif réduit ce risque. Quoi qu'il en soit, il faut vérifier que les contenus essentiels au référencement sont correctement indexés par Google, en utilisant un outil tel que la Google Search Console.
Comment vérifier le fonctionnement d'un lazy loading ?
Tester sur le terrain
La méthode la plus simple consiste à observer comment les images s'affichent lorsque l'utilisateur fait défiler une page. Si elles apparaissent progressivement, cela signifie que le chargement différé fonctionne.
Inspecter le code HTML
Autre manière plus technique de tester l'efficacité du lazy loading : vérifier le code.
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